mardi 27 novembre 2012

UN VERRE C'EST UNE SALLE D'EMBARQUEMENT POUR LE PLAISIR

Surpris en plein travail à Haut-Brion en octobre.

Vous êtes nombreux à me demander avec quoi je travaille, quels sont les ustensiles que je recommande pour bien déguster.

Le verre est le coeur du problème, un verre n'est rien de moins qu'une salle d'embarquement pour le plaisir, l'outil qui permet - ou pas - le corps à corps.

Mes verres quotidiens, je vous en avais parlé ici, ce sont des Arom'up.

Pour les grands moments, je sors l'artillerie lourde, ou plutôt l'artillerie légère, car ces verres autrichiens sont d'une légèreté renversante.

Jusque là, comme beaucoup d'oenophiles, pour les grands moments, je faisais grand usage des verres Riedel (verrier autrichien aussi) de la gamme Vinum Extrême.

Et puis un jour, je suis tombé sur les verres Zalto.


Ils réussissent un vrai prodige car lorsqu'on les a en mains, bien qu'ultra légers, ils paraissent solides.

A l'heure actuelle, je ne v(b)ois pas mieux. Un choix suprême.

Dans la gamme de ce verrier discret, je trouve l'"universel" épatant, polyvalent.


28 euros le verre, ce n'est certes pas donné, mais même à ce prix, on n'est pas volé, l'émotion est au rendez-vous. Comme je vous l'ai dit, dans les moments moments de vins, le verre doit s'effacer pour mieux révéler ce qu'il contient et qui s'offre soudainement à nos sens. Un peu aussi comme une enceinte de haute-fidélité qui doit à son tour offrir tous les timbres possibles. 

Zalto a utilement mis en place une boutique en ligne, c'est ici